Petitepom lit…











{2 février 2012}   Le cycle de fondation,3 : Seconde Fondation-Isaac Asimov

Conçue par le psychohistorien Hari Seldon pour restreindre l’ère de chaos résultant de la décadence de l’Empire galactique,la Fondationest désormais aux mains du Mulet, un mutant imprévisible capable de manipuler les esprits et d’imposer sa volonté à quiconque. Avec ses pouvoirs et les immenses ressources que lui procurela Fondation, il s’est donné pour objectif d’étendre sa domination aux ultimes vestiges de l’Empire défunt. Mais déjà une nouvelle légende prend forme : il existerait une Seconde Fondation, consacrée aux sciences mentales, œuvrant de façon occulte pour garantir l’accomplissement des desseins du légendaire Hari Seldon…

Nous débutons ce livre 5 ans seulement après la fin du précédent ; le Mulet a étendu ses pouvoirs, La Fondation serait-elle détruite ? Le plan Seldon aurait il échouer ? Ce sont les deux questions qui dominent cette première partie.

 Puis nous faisons un saut d’un siècle et nous retrouvons la petite fille d’un personnage présent dans le tome précèdent ; avec un ami de son père qui se fait passé pour son oncle, ils partent à la recherche de la seconde Fondation. Tout au long de cette 2° partie, toute les hypothèses sur son emplacement nous est suggérée.

 Cette seconde Fondation serait un groupe de scientifique qui ont développé la science mentale, mais sur quelle planète vit elle ? Et Comment elle fonctionne ? Certains chapitres font apparaître le premier citoyen de cette mystérieuse Fondation.

 Ce ne sont que dans les derniers chapitres que tout s’éclaire ; encore une fois, je me suis régaler à lire ce tome, guidé par le plan Seldon et appréhendant sa fin.

 Une phrase a retenu mon attention : «  Tout les chemin amène à Trantor », cela ne vous rappelle rien ?

 J’ai commencé à lire le 4° tome, mais je me suis lassée, j’avais très envie de connaître d’autres révélations mais celle-ci ne viennent pas, on tourne en rond : ce 4° tome commence comme les précédents, la quête de la 2° fondation, à force, je m’ennui ;, je ne poursuis pas cette série pour le moment, je la reprendrais peut être plus tard.



Laisser un commentaire

et cetera