Petitepom lit…











9782266238557_200x327

La suite de Si c’était à refaire… Dans l’épave d’un avion emprisonné sous les glaces du mont Blanc, Suzie Baker retrouve le document qui pourrait rendre justice à sa famille accusée de haute trahison. Mais cette découverte compromettante réveille les réseaux parallèles des services secrets américains. Entraîné par l’énigmatique et fascinante Suzie Baker, Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, mène une enquête devenue indispensable à la survie de la jeune femme. Traqués, manipulés, Suzie et Andrew devront déjouer pièges et illusions jusqu’à toucher du doigt l’un des secrets les mieux gardés de notre temps.

Malgré que je préfère Musso à Levy, j’ai aimé le premier tome « Si c’était à refaire », il me fallait un titre avec le mot « peur », voila l’occasion de découvrir cette suite.

J’ai aimé le premier de l’auteur pour son côté roman/surnaturel, là on est dans du policier, et j’avoue que j’aime moins.

Au début, c’est un peu confus, j’avais du mal à comprendre où on m’amenait, puis peu à peu, j’ai compris mais je n’ai pas été séduite ; l’histoire est bien mené, il n’y a pas de moments morts mais le récit en lui même ne m’a pas emballé.

lu dans le cadre du challenge : un mot, des titres



{21 mars 2015}   After Saison 3- Anna Todd

41EZEWkviTL__AA160_

Avant, rien n’aurait pu les séparer… Le caractère ombrageux d’Hardin continue de lui jouer des tours et il échappe de peu à l’expulsion de l’université. Tessa, qui vient de retrouver son père au hasard d’une rue, ne peut ignorer les similitudes de caractères des deux hommes de sa vie. Et ce n’est pas Hardin, toujours aussi ingérable, qui facilitera cette rencontre imprévue. Alors Tessa va devoir affronter la plus douloureuse des questions : Hardin sera-t-il capable de s’ouvrir un jour ? Un week-end chez le père d’Hardin, est l’occasion rêvée pour se recentrer sur leur histoire. Et la rencontre du couple Riley et Lilian leur en apprend bien plus que toutes leurs querelles. Mais le départ pour Seattle approche, c’est le moment de prendre les bonnes décisions. Tessa veut-elle démarrer une nouvelle vie avec Hardin ? Hardin est-il seulement capable de mettre ses démons de côté pour la suivre ? Le besoin passionné d’être ensemble sera-t-il plus fort que tous les obstacles ?

j’ai bien aimé ce 3° volet des aventures de Tessa et Hardin, même si c’est répétitif, on se laisse prendre au jeu de leur amour.

Leur relation évolue, je leur trouve un peu plus de maturité ; Hardin fait des efforts pour se contenir ; Tessa, par contre à tendance à plus se laisser aller.

Les autres personnages permettent à l’histoire d’être un peu plus attrayante, même si le couple Hardin et Tessa reste toujours en avant.

Je vais bien sûr continuer cette série, je ne peux pas, ne pas connaître la suite de leur histoire… 🙂



51Gr1Y+dgDL

Un étang. Une inondation. Un corps impossible à identifier qui remonte à la surface emballé dans une housse… Comment ne pas supposer qu’il s’agit du cadavre de Dara disparue trois années plus tôt ? Christine, sa demi-sœur, en a l’intime conviction. Au-delà de la raison. En dépit des lettres régulièrement reçues et signées par la disparue sans que jamais elle ne parle de retour. L’enquête reprend. Et avec elle les harcèlements dont Dara se disait la victime dans son journal intime. Des menaces diffuses qui maintenant visent Christine… À qui faire confiance ? Qui persécutait Dara au point de la paniquer ? Christine ne sait pas, mais elle est prête à tout pour découvrir la vérité : même si elle devait en mourir…

J‘ai beaucoup aimé ce policier, c’est très bien mené, on ne voit rien venir.

Dès les premières pages, on pense avoir un suspect, puis, quelques chapitres plus loin, un autre se dessine, tout au long de cette lecture, plusieurs personnes peuvent être celle qui tue ; en plus, la narratrice, Christine est harcelé, on sent monté la peur.

Ce n’est qu’aux toutes dernières pages que l’on découvre la vérité ; l’action final ,qui nous désigne le coupable et nous explique le pourquoi, est courte, j’ai apprécié cette fin, car dans d’autres policiers, les bla bla explicatifs  ont tendance à m’ennuyer ; ce que l’on veut, c ‘est savoir qui à tuer et pourquoi . 🙂

C ‘est un auteur que j’ai toujours aimé, j’en lis très peu car je ne suis pas une grande fan de policier, celui ci fut ressorti de ma biblio pour un challenge.

lu dans le cadre du challenge : lire sous la contrainte



9782290080306_110x160

Quand il voit débarquer dans son cabinet la ravissante, mais ô combien extravagante, Gabrielle Géris, Adrien de Bérail est loin d’imaginer qu’il se laissera convaincre de l’embaucher comme baby-sitter. Veuf et très accaparé par son métier d’avocat, il lui faut de toute urgence une personne capable de prendre soin de ses deux chérubins, Paul et Sophie, tout juste âgés de neuf ans. C’est donc en dépit de ce que lui crie la raison qu’il accepte sa folle candidature. Une personnalité audacieuse et un toupet incroyable pour un petit mètre soixante sur talons… Qui sait ? La jeune femme pourrait bien se révéler être la perle rare…

C ‘est en me baladant sur des groupes de lecture sur facebook que j’ai découvert cette auteur française.

C’est une romance très agréable à lire, le personnage de Gabrielle est très attachante, sincère et un peu folle parfois. Adrien est d’abord perçu comme un homme autoritaire et un peu froid mais quand il laisse ses émotions le guider, il est très attirant et sexy.

Ce duo fait bon ménage pour notre plus grand plaisir. J’ai beaucoup aimé cette romance, c’est frais , c’est léger. Un auteur à suivre.



{5 mars 2015}   Sula-Toni Morrison ›

9782264021052_200x331

L’histoire parallèle de deux petites filles, l’une sage, l’autre rebelle, qui se retrouvent quarante ans plus tard.

Pour le challenge « lire en thème »,  il me fallait un prénom, j’ai donc pensé à ce petit livre.

Je trouve que le titre n’est pas si approprié, car ce livre raconte les différents thèmes qui permettent de mieux cerner la vie d’une communauté noire mise à l’index par la société blanche et profondément raciste de cette époque, et pas seulement la vie de Sula.

Sula est une femme noire libre et donc scandaleuse, d’où son importance dans cette lecture alors que Nel choisit de se conformer aux règles de sa communauté en se mariant, d’avoir une vie de femmes noires, rendue extrêmement difficile à cause de la double contrainte d’être le « sexe faible » et la « race inférieure »…

J’ai aimé cette lecture mais je regrette qu’il ne soit pas centrée que sur la vie de Sula et plus exploité.

Lu dans le cadre du challenge : lire en thème



51eE73eKl1L__AA160_

Quand elles étaient enfants, Erica Calcott et sa sœur Beth passaient toutes leurs vacances à Storton, le manoir de leur grand-mère Meredith. Jusqu’au jour où leur cousin Henry disparaît, brisant d’un coup la famille et plongeant Beth dans une intense dépression. Vingt-cinq ans plus tard, Meredith vient de mourir et les sœurs Calcott reprennent le chemin de leur enfance. Tandis que Beth s’enfonce davantage dans la souffrance, Erica entreprend de trier les affaires de leur aïeule et tombe sur une photo de leur arrière-grand-mère Caroline avec un petit garçon dans les bras. Qui est-il ? Et, surtout, qu’est-il devenu ? Erica décide de fouiller l’histoire de ses ancêtres, et notamment celle de Caroline. Elle est loin d’imaginer qu’elle s’apprête à mettre au jour leur véritable héritage, un secret si douloureux que quatre générations plus tard, les sœurs Calcott en portent encore le fardeau…

Le début du roman est un peu confus, on se s’est pas trop où on en est balancé entre deux époques et les différents personnages. Passées les 100 premières pages, on y voit plus clair.

On suit deux générations : l’histoire de Caroline vers 1904, marié une 1° fois en Amérique où elle prendra une bien mauvaise décision et le récit de ses arrières petites filles qui viennent dans le Manoir de la famille où les secrets s’accumulent.

J’ai préféré l’histoire de Caroline, beaucoup plus dramatique et prenant que celui de Beth et Erica. Dans l’ensemble, c’est agréable à lire, on est curieux de connaître le secret de Caroline, par contre, les chapitres où on retourne à notre époque manquent d’entrain.



et cetera