Petitepom lit…











{26 novembre 2014}   Orgueilleuse -Suzanne Lardreau

51Y6QZ6MdPL__AA160_

Comment Suzanne « la Bâtarde » échappe au destin qui la condamne à devenir bonne ou fille de ferme, et réussit ses études ; comment une enfant de la honte, une gamine abandonnée de tous, mal aimée et mal nourrie, conquiert le droit d’être heureuse… Un exploit accompli dans le monde hallucinant des orphelinats de l’après-guerre. Suzanne raconte aujourd’hui, avec le sourire, ces années insensées et violentes dont elle est sortie victorieuse, et fait vivre une petite fille pleine de feu qui oppose au malheur une arme infaillible : l’orgueil.

Ce petit livre vite lu, est raconté par une enfant, qui grandit dans un orphelinat, cette enfant est naïf, élevée dans la religion, sa vision du monde est restreint.

Le changement d’établissement et sa rentr&e à l’école communale va lui ouvrir les yeux, et l’amener vers une vie d’adulte où elle trouveras sa place malgré les réflexions comme « tête de boche » qu’elle acceptera, comme tout ces enfants conçus pendant la guerre de père Allemand.

Une lecture mitigé pour moi, si le sujet me plait, la narration, par une enfant, dans cette orphelinat où régne la routine m’a parfois un peu ennuyé.

lu dans le cadre du challenge :  » bingo littéraire »



410seBGVY3L__AA160_

Comme chaque année la famille Connelly passe ses vacances dans la maison de famille du Maine. Surpris par une tempête lors d’une promenade en mer, Josie la fille aînée disparaît brutalement et devant le malheur chacun se retranche derrière son mutisme. Pourtant son corps n’a pas été retrouvé et la mère va tout faire pour restaurer l’équilibre familial.

Je ne suis pas fan de drame, préférant des lectures plus dépaysantes ; je ne sais pas qui m’a donné envie de cette lecture, pour que ce livre finisse dans ma biblio, mais je la remercie car malgré le sujet triste, le récit est agréable à lire.

J’ai aimé suivre le travail de deuil de Ruth, après la mort de sa fille, les différents qui resurgissent entre elle et son mari. Quand son fils tombe malade, je suis prise par cette histoire espérant que cette famille soit enfin épargnée…

L’attachement que l’on a pour eux, donne envie de lire et de rester à leur coté. La suite de malheurs qui s’abat sur Ruth, interroge le lecture sur le titre du livre car on cherche où est l’espoir, ce n’est qu’ aux derniers chapitres que cela survient, des moments boulversants.

Tout cela fait, pour moi, de ce livre un coup coeur ❤

lu dans le cadre de deux challenges : découverte d’auteur et Bingo littéraire



{20 novembre 2014}   La Nuit leur appartient-Sylvia Day

9782266248785_110x180

Elle ne le rencontre que dans le monde évanescent des rêves. Pourtant, Lyssa Bates n’a jamais ressenti une telle attirance. Et si elle sait parfaitement que cet homme aux yeux d’un bleu magnétique n’est qu’un fantasme, elle n’arrive pas à l’oublier… Jusqu’au jour où il se présente sur le pas de sa porte. Bien qu’elle brûle de lui appartenir, céder à cette tentation pourrait être fatal. Car Aidan Cross n’est pas un homme comme les autres, et la passion qui les consume est non seulement impossible… mais interdite.

Pour ceux qui ont lu la série Crossfire, ce livre n’est pas leur préféré, pour moi c’est le premier de l’auteur que je lis et j’ai bien aimé.

Le récit avec une pointe de fantazy est sympa, il n’y a pas trop de scènes érotique, celle- ci sont un peu cru mais ça reste supportable vu que ce n’est pas le seul sujet du livre ; l’histoire des gardiens de cauchemars est très originale.

Les personnages ne sont pas cucul, j’ai trouvé Lyssa attachante et charmante ; Aidan est bien sûr l’incarnation de l’homme parfait, peu crédible mais bien sympa à lire.



9782253068242_110x177

Quand sa mère tombe malade, le jeune Alexander Cole s’engage avec sa grand-mère – une baroudeuse qui n’a pas froid aux yeux – dans une équipe du National Geographic qui se rend en Amazonie à la recherche d’une créature mystérieuse, que peu d’hommes ont vue et que les Indiens appellent  » la Bête « … Participent également à cette expédition, dirigée par un célèbre anthropologue, deux photographes, une séduisante doctoresse, un guide vénézuélien et sa fille, la merveilleuse Nadia… Un des buts de la mission est de vacciner les Indiens, nommés les  » gens de la brume « . Mais le voyage est parsemé de dangers, de découvertes aussi extraordinaires que surprenantes. Ce roman d’aventures haletant, qui conjugue connaissances et exotisme, savoir et évasion, a été traduit et publié dans le monde entier.

J’ai découvert l’auteur avec « Fille de destin », j’avais lu ce livre en deux fois, accrochant difficilement ; par contre j’ai adoré  » La maison des esprits » ; Isabel Allende fait parti de ces auteurs dont j’adore l’écriture mais où certains récits me plaisent moins que d’autres. « La cité des dieux sauvages » ne m’a pas emballé plus que ça.

Ce récit d’aventure raconte la convoitise des hommes pour les richesses Amazoniennes, nous sommes au coté de ce groupe d’hommes mais plus particulièrement au coté de 2 adolescents : Alex et Nadia ; ils vont découvrir un peuple reculé d’indien qui va les entrainer vers une initiation spirituelle.

Ce voyage ne m’a pas emballé car je n’aime pas trop ce genre d’histoire.

Lu dans le cadre du challenge : choisir dans sa PAL



9782253176527_110x177

Ana et Christian ont tout pour être heureux : l’amour, la fortune et un avenir plein de promesses. Ana apprend à vivre dans le monde fastueux de son M. Cinquante Nuances, sans perdre son intégrité ni son indépendance, tandis que Christian s’efforce de se défaire de son obsession du contrôle et d’oublier son terrible passé. Mais bientôt, alors que tout semble leur sourire, le destin les rattrape et leurs pires cauchemars deviennent réalité… Un happy end est-il possible pour Christian Grey et Anastasia Steele ? Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances plus claires est le dernier volume, vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais.

Lors de ma précédente lecture, il m’avait agaçé ces deux là, à toujours se chamailler pour se réconcilier au lit, j’avais arrété la lecture , mais bon tout le monde aime, il falait que j’aille au bout, alors je le relis. 🙂

j’ai pris mon temps pour le lire, car il ne fait pas partie de mes coups de coeur mais la curiosité m’a poussé à aller au bout.

c’est une lecture plaisante, une romance avec des moments érotiques mais ca reste plus occasionnel à fur et à mesure qu’on avance dans la lecture, ce n’est pas le seul sujet et c’est tant mieux car j’aime bien qu’une histoire évolue.

Les évènements qui arrivent à Christian et Ana sont vite passés et surtout vite résolus, l’argent de Mr Grey fait miracle, très romanesque mais pas très littéraire. Toutefois, j’ai bien aimé les dernières pages.



9782811201425_160x256

Depuis la mort de sa mère, Kero cachait les pouvoirs qu’elle sentait frémir au fond d’elle-même, la puissance qu’elle ne comprenait pas et qui l’aurait éloignée des autres. Car elle était Kerowyn, petite-fille de la sorcière Kethry. Mais quand le mariage de son frère tourna au drame, elle dut choisir sa vie en un instant, enfourchant sa jument pour poursuivre la bande de massacreurs.

Si j’ai aimé le fantastique à une époque, c’est moins le cas aujourd’hui car je leur reproche leur similitude d’histoires ; j’ai ouvert ce livre car il rentre dans le cadre d’un challenge.

Les premières pages m’ont inquiété, quand Kero est parti à la recherche de la femme de son frère, je me suis dit : encore une quète à travers un monde féérique qui va vite m’ennuyer, mais pas du tout , grace à la magie, Kero retrouve sa belle soeur très vite et revient à la forteresse où elle étudie l’art du combat et la maitrise de ses dons, un bon début, pas similaire à d’autres fantazy.

La première partie m’a bien plu, les trois années d’enseignement de Kero sont sympa mais ça s’est gaté au début de la 2°, je ne comprenais pas qui était ses nouveaux personnages, la transition est trop direct, j’aime bien m’installer dans les histoires ; et là, il falait que je me réadapte, j’ai laissé tomber, je crois que le fantazy, c’est plus pour moi.



et cetera