Comment Suzanne « la Bâtarde » échappe au destin qui la condamne à devenir bonne ou fille de ferme, et réussit ses études ; comment une enfant de la honte, une gamine abandonnée de tous, mal aimée et mal nourrie, conquiert le droit d’être heureuse… Un exploit accompli dans le monde hallucinant des orphelinats de l’après-guerre. Suzanne raconte aujourd’hui, avec le sourire, ces années insensées et violentes dont elle est sortie victorieuse, et fait vivre une petite fille pleine de feu qui oppose au malheur une arme infaillible : l’orgueil.
Ce petit livre vite lu, est raconté par une enfant, qui grandit dans un orphelinat, cette enfant est naïf, élevée dans la religion, sa vision du monde est restreint.
Le changement d’établissement et sa rentr&e à l’école communale va lui ouvrir les yeux, et l’amener vers une vie d’adulte où elle trouveras sa place malgré les réflexions comme « tête de boche » qu’elle acceptera, comme tout ces enfants conçus pendant la guerre de père Allemand.
Une lecture mitigé pour moi, si le sujet me plait, la narration, par une enfant, dans cette orphelinat où régne la routine m’a parfois un peu ennuyé.
lu dans le cadre du challenge : » bingo littéraire »