Petitepom lit…











9782253174875_200x322 Bree, Celia, April et Sally avaient quitté leurs chambres de bonnes et emménagé à l’étage principal. Elles laissaient leurs portes ouvertes pendant la journée et criaient simplement pour se parler. Elles se vautraient sur les divans du salon après le repas du soir, se racontant des ragots et se lisant à voix haute des passages du New Yorker et de Vogue. Elles se sont connues et aimées à l’université de Smith, haut lieu de la culture féministe. Le temps, le mariage, la vie d’adulte les ont séparées, jusqu’à la disparition de l’une d’entre elles. Face aux déceptions de l’existence, rien n’est plus précieux que les souvenirs et les amies des années de fac. Bree, Celia, April et Sally vont s’en rendre compte. Si Les Débutantes est d’abord un hymne à l’amitié, c’est également une réflexion passionnante sur l’indépendance des femmes dans notre société.

J’ai beaucoup aimé cette lecture, on pense tout de suite à la série Desperate Housewives.

Ce sont quatre filles totalement différentes, qui se retrouvent voisines à l’université, elles sortent du lycée quand elles arrivent et au fil des années, elles vont murir et changer.

Chacune est narratrice de chapitre en chapitre, elles nous racontent cette évolution durant les années d’université, puis leurs vies après celle ci, chacune prendront des voies différents mais elles resteront amies et unies, se réunissant dans les moments difficiles.

On s’attache à ces 4 filles, on fait partie de leurs cercles en lisant leurs histoires, cela donne tout l’intérêt et le coté agréable de cette lecture. un coup de cœur



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Comme je viens de piocher dans mes plus vieux livres et que j’ai adoré cette lecture précédente ; j’ai choisi le livre le plus vieux de ma PAL, je crois l’avoir acheté en 2007

Résume :

Londres, 1862. A la veille de ses dix-huit ans, Sue Trinder, l’orpheline de Lant Street, le quartier des voleurs et des receleurs, se voit proposer par un élégant, surnommé Gentleman, d’escroquer une riche héritière. Orpheline elle aussi, cette dernière est élevée dans un lugubre manoir par son oncle, collectionneur de livres d’un genre tout particulier. Enveloppée par une atmosphère saturée de mystère et de passions souterraines, Sue devra déjouer les complots les plus délicieusement cruels, afin de devenir, avec le concours de la belle demoiselle de Briar, une légende parmi les cercles interlopes de la bibliophilie érotique. Héritière moderne de Dickens, mais aussi de Sapho et des Libertins, Sarah Waters nous offre une vision clandestine de l’Angleterre victorienne, un envers du décor où les héroïnes, de mariages secrets en amours interdites, ne se conduisent jamais comme on l’attendrait. Un roman décadent et virtuose.

J’avais lu beaucoup de bien de ce livre, et ce fut en effet, une belle lecture.

Dans une première partie, le lecteur suit Sue, une fille pauvre de Londres, qui est enrôlée dans une escroquerie par un homme nommé Gentleman. Ils partent pour Briar pour mettre en confiance une fille naïve afin qu’elle épouse Gentleman. Sue est sa servante. Le mariage doit leur apporter la fortune. Mais Sue va se retrouver victime du complot car Melle Lilly n’est pas la jeune fille innocente que l’on croit.

La deuxième partie nous est contée par Maud ( Melle Lilly)qui nous relate son histoire tel qu’elle a été comploté par Gentleman (Mr Rivers). Elle sera elle aussi, bien déçue à son arrivée à Londres, les promesses de Mr Rivers ne sont que des mensonges.

Dans la dernière partie on retrouve Sue à la fin de la 1° partie, elle a été internée et nous suivons son calvaire. Mais la chance va lui sourire et c’est à Londres qu’elle pourra de nouveau voir ceux avec qui elle a vécu et qui l’on entourloupé.

Cette intrigue est bien mené, et nos deux héroïnes vont à la fin triompher de leurs malheurs. C’est une belle histoire, bien écrite et malgré ses 750 pages, on ne s’ennuie pas, curieuse de savoir comment tout cela va finir.



et cetera