Petitepom lit…











je-termine-ce-que-jentreprendsLe but du challenge « Je termine ce que j’entreprends ! » est de sortir des Piles à Lire les tomes 1, 2, 3, 4… les suites ou les fins des séries commencées qui s’entassent, qui empêchent de connaître la fin d’une saga ou de se procurer celui ou ceux qui suivent…, cela se passe ici

Bilan pour 2014

Autant en emporte le vent, Tome 1
– Autant en emporte le vent, Tome 2
– Autant en emporte le vent, Tome 3
Scarlett
– Les dames du lac, Tome 2 (Saga abandonnée)
– La trilogie des elfes, Tome 2 (Saga abandonnée)
– La communauté du Sud, Tome 12
– L’assassin royal, Tome 13 (Saga terminée)
Cinquante nuances de Grey
Cinquante nuances plus sombres
Cinquante nuances plus claires (Saga terminée)
– La communauté du sud, Tome 13 (Saga terminée)
– Les robots, Tome 1
– Le baiser de l’ange, Tome 1
– Le baiser de l’ange, Tome 2
– Le baiser de l’ange, Tome 3
– Le cercle de pierre, Tome 1



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Le roman et le film les plus populaires de tous les temps. Plus de dix millions d’exemplaires vendus dans le monde. Traduit dans 18 langues.Autant en emporte le vent est une fresque historique, jamais surpassée, sur la société des États sudistes et les tragédies de la guerre de Sécession. C’est aussi un roman d’amour dont les héros, Scarlett O’Hara et Rhett Butler, sont entrés à jamais dans la galerie des amants légendaires.

On retrouve Scarlett à Atlanta, marié à Franck Kennedy, ce mariage lui a permis de garder Tara ; mais elle souhaite bien plus, elle ne veut plus connaitre la misère et la faim ; avec l aide de Rhett, elle va acquérir une scierie et devient une femme d’affaire, malgré les inconvenances.

Elle a compris que la guerre a tout changé, les anciennes familles du Sud doivent travailler pour vivre, les temps anciens sont ballayés. La reconstruction, à la sortie de la guerre, est difficile, les yankee ont libérer les noirs mais cela ne se fait pas facilement; livrés à eux même les anciens esclaves, s’enivrent de cette liberté qui ont du mal à gerer ; l’ivresse et la rapinerie sont le lot quotidien des rues d’Atlanta, les Yankee ne les jugent pas ; cela va entrainer la naissance du Ku Klus Klan.

Scarlett ne pense qu’a faire prospérer ses affaires et ira au devant de terribles ennuis, amenant ses amis et son mari à faire justice eux même et à intégrer le Klan, ce n’est qu’avec l’intervention de Rhett, que cela finit plutot bien, mais Scarlett se retrouve de nouveau veuve et promet le mariage à Rhett.

La dernière partie est la vie commune de Rhett et Scarlett, aussi buté et égoïste l’un que l’autre , ils vont faire de ce mariage un beau gachis et nous refermons le livre sur leurs séparations ; cela m’aurai énormément frustré, si je n’avais pas une suite, car j’aime à penser que leur amour va les réunir de nouveau. Je m’empresse donc de lire Scarlett de Alexandra Ripley, une suite que j’espère heureuse.

 



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Taylor Greer n’a pas l’intention de finir ses jours dans le Kentucky, où les filles commencent à faire des bébés avant d’apprendre leurs tables de multiplication. Le jour où elle quitte le comté de Pittman au volant de sa vieille coccinelle Volkswagen, elle est bien décidée à rouler vers l’Ouest jusqu’à ce que sa voiture rende l’âme. C’est compter sans le désert de l’Oklahoma où, sur le parking d’un bar miteux, elle hérite d’un mystérieux balluchon : une petite Indienne. On est à Tucson dans l’Arizona ; Taylor a les yeux grands ouverts, de l’énergie à revendre et une bonne dose d’humour. Dans un garage un peu spécial, elle va rencontrer à la fois la générosité et l’iacceptable, et trouver l’espoir de garder celle qui est devenue son enfant, la petite Turtle. L’Arbre aux Haricots est une histoire de rire et de peine, un magnifique début pour une nouvelle romancière contemporaine. La suite des aventures de Turtle et de sa mère a été publiée sous le titre : Les Cochons au paradis (Rivages).

Ce roman relate la vie de deux femmes qui se retrouvent seules avec un enfant, l’histoire de Lou Ann est banale, celle de Taylor a un mystère, car cette enfant lui a été posé de force dans sa voiture.

Ses deux parcours ont une part de mystère mais j’ai trouvé l’histoire un peu plate, l’écriture est agréable et fluide : facile à lire, mais ca manque d’action à mon gout.

En arrière plan, il est question de réfugiés, de maltraitance, et de la vie des indiens en Amérique, mais cela reste très peu exploité, c’est dommage, car certains passages sont très émouvants.

On attend un fin qui donne un petit quelque chose à cette lecture, celle ci est belle mais sans surprise.



 

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Jeune orpheline que la vie n’a pas épargnée, Victoria Jones se méfie des autres. Elle qui n’aime pas les mots va trouver dans le langage des fleurs le moyen d’exprimer ses émotions extrêmes et de se réconcilier avec la vie.

Victoria est une enfant difficile, abandonnée à la naissance ; elle passe son enfance entre des foyers et des familles d’acceuil  ; elle se raccroche à sa passion pour les fleurs.

Son dernier placement, à 10 ans est chez Elisabeth, propriétaire d’une vigne ; Elle se reconnait dans Victoria, et finit par l’assagir.

Le livre commence, le jour des 18 ans de Victoria, elle peut sortir du foyer où elle vit depuis 8 ans, elle doit trouver un travail et un logement ; les fleurs vont le lui permettrent, mais elle va aussi retrouver Grant, le neveu d’Elisabeth.

De chapitre en chapitre, on va vivre le présent et le passé chez Elisabeth ; le présent sous entend qu’il s’est passé quelque chose dans le passé, ce que le lecteur veut découvrir.

Ce livre se résume en un mot : « le pardon » ; Elisabeth et Victoria m’ont déçu par leurs choix, mais la beauté de leurs âmes efface tout, et donne à ce livre beaucoup de fraicheur au parfum des fleurs.



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Pendant la guerre de Sécession, alors que le Sud esclavagiste auquel ils appartiennent tous les deus est en train de perdre ses dernières batailles contre le Nord, Rhett Butler et Scarlett O’Hara s’aiment et se déchirent.
– Il doit y avoir de la place pour moi dans votre coeur. Cessez de vous tortiller comme un ver. Je vous fais une déclaration d’amour. Je vous ai désirée dès que je vous ai vue pour la première fois […] lorsque vous étiez en train d’ensorceler le pauvre Charlie Hamilton. Je vous désire plus que je n’ai jamais désiré une autre femme… et, pour vous, j’ai attendu plus longtemps que je n’ai jamais attendu pour une autre femme.
La surprise lui coupa le souffle. Malgré toutes ses injures, il l’aimait, mais il était si mauvaise tète qu’il ne voulait pas le reconnaître franchement et qu’il n’osait pas parler de peur qu’elle n’éclatât de rire. Eh bien ! elle allait lui montrer de quel bois elle se chauffait, et ça n’allait pas tarder.
– Est-ce une demande en mariage?
Il lui lâcha la main et rit si fort que Scarlett se recroquevilla dans son fauteuil.
– Grands Dieux, non! Ne vous ai-je pas dit que je n’étais pas fait pour le mariage ?
– Mais… mais… que…
Il se leva et, la main sur le coeur, il fit une révérence comique.
– Chérie, déclara-t-il d’un ton placide, je m’en vais rendre hommage à votre intelligence en vous demandant d’être ma maîtresse sans vous avoir séduite au préalable.
Sa maîtresse! »

Le début nous ramène sur la guerre, j’ai eu peur  de m’ennuyer, mais passer quelques chapitres moins passionnants, on retrouve Scarlett tel qu’on l’aime, les conditions de vie dans ce temps de misère sont difficiles  pour elle et les siens, d’abord à Atlanta, puis à Tara où elle espèrait retrouver un peu de réconfort.

Le vie à Tara n’a plus rien à voir avec les fastes de la vie d’avant guerre, Scarlett va devoir murir et assumer la maison avec un père malade, une Mélanie alité, et plus que deux « nègres » à son service, son égoisme va faire place à de la tyranie, son petit garçon et les autres membres de la famille vivent dans la peur de ces colères. Mais ce n’est rien à coté des pillages dont ils sont victimes par des soldats afamés ; Tara vit dans la peur des yankee, et la faim est homnie présente.

Une fois la guerre finie, il faut reconstruire, mais le Sud est défiguré, les plants de coton sont dévastés, il n’y a plus d’esclaves pour les travailler, l’argents des confédérés ne vaut plus rien, Scarlett est parfois pris de désespoir, mais elle est pleine de ressource et trouve toujours une solution. Face aux nouveaux  riches qui veulent lui prendre sa propriété, elle cherchera une solution plutôt que de capituler ; même si ses solutions peuvent paraitre égoïsme : Scarlett reste la même et c’est tant mieux car c’est comme cela qu’on l’aime.

Il y a beaucoup de richesses dans ce livre,des paragraphes sont parfois un peu longs mais se lisent relativement bien ; je suis d’ailleurs étonné de la rapidité avec laquel j’ai lu ce 2° tome.

 



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Alexia Tarabotti, célibataire, doit composer avec une contrainte de taille : elle n’a pas d’âme. Lorqu’elle est attaquée par un vampire dans les rues de Londres, elle le tue accidentellement. Lord Maccon, bel écossais et loup-garou à ses heures, est envoyé par la reine Victoria pour enquêter sur l’affaire…

Ce livre m’a fait passé un moment, bien divertissant ; alexia est délicieusement innocente et téméraire.

Nous sommes au XIX° siécle, décor propice aux loup-garou et vampire, je trouve. Nous retrouvons la même hiérarchie et fonctionnement que dans d’autre livre de ce genre, du coup, j’ai ressenti une familiarité qui m’a tout de suite emballée. Avec un petit plus, les sans âmes, nature dont est faite alexia.

Des disparitions vont alimenter cette histoire : les vampires disparaissent et d’autres, de nature étranges et inachevées apparaissent. Alexia et le comte Lord Maccon vont se retrouver confronter à ces intrigues, ce dernier étant membre du BUR, bureau qui s’occupe de chose surnaturelle. Une relation , un peu trop intime va naitre entre eux ; cela apporte, une touche de fantaisie très agréable à lire.

Melle alexia est une jeune fille de 26 ans, elle n’est plus bonne à marier ; elle se permet un peu plus que les convenances, et se retrouve très vite dans des situations des plus choquantes pour son entourage ; cela fait le charme de cette lecture.

Une lecture légère et pleine de fraicheur que je suis contente d’avoir découverte.



et cetera