Petitepom lit…











Madeline et Jonathan ne s étaient jamais rencontrés, ils n auraient jamais dû se revoir. Mais en ramassant leurs affaires, ils ont échangé leurs téléphones portables. Lorsqu ils s aperçoivent de leur méprise, ils sont séparés par 10 000 kilomètres : elle est fleuriste à Paris, il tient un restaurant à San Francisco.
Cédant à la curiosité, chacun explore le contenu du téléphone de l autre. Une double indiscrétion et une révélation : leurs vies sont liées par un secret qu’ils pensaient enterré à jamais…

 

j‘aime cet auteur, il me surprend à chaque roman, celui ci a moins de surnaturel mais il reste un touche de magie : l’appel de l’ange. Il est plus tourné vers le thriller.

En effet, Madeline et Jonathan, poussé par la curiosité vont fouiner dans le portable de l’autre et, il découvre est une histoire policière. Celle ci nous révélé peu à peu car les deux personnages y ont été mélé. Je ne peux pas en dire plus s’en tout révéler, ce serait dommage.

On passe d’un chapitre à un autre d’un personnage à l’autre, apprenant de nouveau élément sur leurs vies et leurs passés, c’est prenant.

Les derniers chapitres éclairent le lecteur avec pas mal d’action; j’ai encore une fois, pris beaucoup de plaisir à lire cet auteur, le coté policier est bien mené, l’intrigue reste incompréhensible jusqu’au bout, une réussite, comme toujours!



Tous les personnages vont connaître la passion, le drame et l’amour.

Que dire de plus ? Tout est dit dans ce tout petit résumé ; en effet les personnages se retrouvent ou sont séparé au fil de l’intrigue, les trois enfants qui accompliront la prophétie grandissent bien plus vite que la normale car ils sont de la même lignée des géants qui ont disparu.

Afin d’avoir les réponses et de savoir ce qu’on attend d’eux, Elora et Khalil, deux d’entre eux vont se retrouver dans les pyramide d’Egypte. Le galoup, Constantin restera avec Algonge sur les terres de Sassenage où tout le monde finira pas se retrouver.

J’ai pris beaucoup de plaisir avec tout ces personnages, ils ont chacun leur personnalité propre, apportant du relief à cette histoire.

On les suit chacun leur tour, espérant et attendant des retrouvailles, la fin résume bien la trilogie du chant des sorcières et ces deux tomes apportant des éclaircissements qui clôturent agréablement ce récit.

Mireille Calmel a l’habitude de dire que l’écriture lui a sauvé la vie. Car lorsque, à l’âge de 8 ans, elle tombe gravement malade et est déclarée perdue, Mireille commence à écrire, par besoin d’extérioriser sa peur, mais aussi parce qu’elle croit profondément que tant qu’elle écrira, elle ne mourra pas.
Et inexplicablement, bien que les médecins aient renoncé, la maladie régresse. Peu à peu, Mireille reprend des forces, recommence à marcher. Elle travaille avec acharnement ses cours par correspondance, sans jamais cesser d’écrire : 250 poèmes, des chansons, un roman… Ce n’est qu’à quinze ans qu’elle retrouve une vie pleinement normale. Elle ne pense plus qu’à écrire, lire, chanter, vivre à tout prix.
Elle écrit des chansons, des nouvelles, des pièces de théâtre, dont l’une destinée aux adolescents sera couronnée d’un prix, chante dans les bals populaires, organise un festival de théâtre, monte des spectacles sur différentes scènes à travers la France…
En 1995, elle dépose un dossier d’insertion et obtiens le RMI pour écrire ce qui deviendra Le lit d’Aliénor. Cinq ans après, elle envoie son manuscrit à Bernard Fixot, avec qui elle signe son premier contrat. Et c’est le succès : plus de 100 000 exemplaires vendus en librairie en France, 800 000 exemplaires vendus dans le monde… Deux ans après, les héroïnes de son Bal des Louves rencontrent le même engouement auprès du public.
Mireille Calmel vit en Aquitaine, à Saint-Christoly-de-Blaye, avec son mari et ses deux enfants.



Castel de Bressieux, 1494. Elora, 10 ans, grandit de jour en jour. Ils sont peu, à la cour, à connaître le mystère de ses origines. Sa mère adoptive, la baronne Hélène de Sassenage, sait garder un secret.
Même Mathieu, le père de la fillette, la croit morte, et vit de rapines et d’escarmouches, dans les bois peu sûrs du comté. C’est un homme brisé que les bandits de grand chemin ont accueilli dans leurs rangs. Il suffira d’une lettre, simple missive trouvée par hasard dans la poche d’un cadavre, pour raviver la flamme et réunir la communauté dissoute. Quelques lignes d’un chant d’amour, adressé à sa dame par le Prince Djem, retenu à Rome par un pape pervers et fornicateur : Alexandre VI, né Borgia… Pour l’amour de sa vie, Hélène de Sassenage prend bientôt la route du Vatican. Sur ses talons, la petite Elora, l’enfant de l’espoir, emprunte un chemin qui l’attend depuis longtemps…

J’ai retrouvé les personnages de la trilogie «  le chant des sorcières », dix ans plus tard, dans deux lieux distincts :

– Les bois de Chorange, près du domaine des Sassenage où vivent les brigands, dont Fanette et Mathieu. Proche d’eux dans la grottes de Melusine, attendent d’autres personnages le moment d’intervenir ou d’être délivrer…

-L’Italie où Hélène, déguisé en domestique du prince, va retrouver celui-ci. Elora prendra sa place auprès du pape pour demander l’annulation du mariage d’hélène, dans une ambiance d’intrigues et de complots dans l’entourage des Borgia…

Ce roman met en avant les enfants nés à la fin de la trilogie du chant des sorcières ; les pouvoirs pour certain, le mode de vie très dure pour d’autre leur donnent de la maturité. On ne les voit pas comme des enfants de seulement 10 ans.

D’autres personnages vont réapparaître, se retrouver amenant le lecteur à tourner les pages avec plaisir, et l’envie de continuer avec le tome 2 : Terra Incognita.



Après s’être alliés pour combattre Sextus Pompée qui affamait Rome, Antoine et Octavien, les deux successeurs de César qui s’étaient partagés l’empire après son assassinat, sont sur le point d’en découdre.
Et ce, bien qu’Antoine ait épousé Octavie, la soeur d’Octavien – un stratagème de ce dernier pour contrôler son ennemi. Mais depuis qu’il a rencontré la reine d’Égypte à Tarse, Antoine est tombé sous le charme de Cléopâtre. Alors qu’elle n’était au début qu’un jeu de dupes où chacun des deux amants cherchait à profiter de l’autre, l’idylle est devenu passionnel, dévorante.
À tel point qu’après sa déroute lors de la fameuse bataille navale d’Actium, Antoine n’a qu’une idée en tête : rejoindre Cléopâtre à Alexandrie. Mais, malgré l’amour qu’elle lui porte, Antoine, vaincu et abandonné de tous, se suicide, suivi peu de temps après dans la mort par Cléopâtre, qui succombe à la morsure d’un aspic…

 J’ai ouvert ce roman en espérant plus de romance , tout en achevant mes connaissances sur cette période de l’histoire. En commençant cette série des maîtres de Rome, j’ai découvert une nouveauté qui m’a emballé mais peu à peu, je me suis lassée par trop de paragraphes d’ordre historique. Pourtant l’écriture est très belle et je recommande cette série à ceux qui veulent se plonger dans la Rome antique.

Mais pour moi, c’est trop technique, les stratégies politiques et guerrières sont trop nombreuses et m’ennuient, pourtant cela avait bien commencé. J’ai retrouvé un Marc Antoine vieillissant amoureux de Cléopatre et qui va jusqu’à verser des larmes quand il se rend compte que cette amour n’est pas partagé. Mais très vite, le revoilà parti en campagne avec ces compagnons de guerre, j’abandonne ce livre et cette série avec un gros regret car j’aime les sagas historiques.



Octavien (le futur empereur Auguste) et Marc-Antoine se partagent le monde romain : au premier l’Occident, au second l’Orient. Mais l’affrontement semble inévitable entre les deux hommes. Cependant, avant d’en découdre avec son ennemi, Antoine voudrait d’abord entreprendre l’expédition contre les Parthes que César préparait peu avant sa mort. Mais il est à court d’argent et cherche à pressurer l’Égypte. Ainsi rencontre-t-il Cléopâtre. Antoine et Cléopâtre, la plus célèbre histoire d’amour de l’Antiquité, est l’ultime volume de la série « Les Maîtres de Rome« .

Bien souvent, les romans historiques sont peu aimés car les lecteurs tombent sur des récits qui ne sont pas assez romancés, il y a beaucoup trop de paragraphes historiques proche du documentaire qui plombe la lecture, ce livre en ai un exemple.

Déjà, les noms romains peu familiers sont difficiles à assimiler, il faut se focaliser sur les personnages principaux pour bien suivre l’intrigue et situer le rôle de chacun. Le titre induit en erreur car on espère lire l’histoire de Marc Antoine et Cléopâtre, ce passage est très vite abordé comme pour César et Cléopâtre.

On parcourt les légions Romaines au coté de Marc Antoine qui règle les problèmes de guerres civils ; une fois à Rome, il doit partager son pouvoir avec Octavien César…. Nous sommes bien loin de l’Egypte.

Il y a trop de passages d’ordre politique et pas assez d’ordre privée, en faisant un roman peu attrayant. La vie des femmes n’est que survolé alors qu’elles jouent un rôle important pour conforter les ententes, elles sont ballottées d’un mari à un autre au bon plaisir des hommes. Ce sujet aurai du être plus exploité.

J’espère que le 2° tome est plus centrée sur la vie des femmes et en particulier sur celle de Cléopâtre au coté d’Antoine.



A la fin du XIXe siècle, deux grandes familles séfarades, les fabuleux Camondo d’Istanbul, proches des sultans et des vizirs, et les Scemama de Tunis, puis de Livourne, se jalousent, se rapprochent, se déchirent. Nessim Scemama, le caïd duc, n’a qu’un rêve : faire de sa fille Hannah une comtesse Camondo. Mais à la mort de son père, Hannah doit gérer seule la fortune familiale. Après une histoire d’amour avortée avec le peintre orientaliste John Lewis Jr, elle quitte Livourne pour Paris, où elle régnera en souveraine, cloîtrée dans son hôtel particulier de la place Vendôme. Elle y retrouve le clan Camondo, installé rue de Monceau dans deux splendides demeures  » qui se touchent comme se touchent leurs cœurs « . Au fil des générations, pourtant, les Camondo ambitionnent de devenir propriétaires de l’extraordinaire hôtel de Hannah. L’amitié, non dépourvue d’ambiguïté, qui unira bientôt Hannah la banquière à Isaac le grand collectionneur et à son cousin Moïse, fondateur du musée Nessim-de-Camondo, fait croire, un temps, à l’union des deux familles. Mais Hannah la Sultane, peut-être trop indépendante pour son époque, saura-t-elle enfin se faire aimer ? En 1942, l’Histoire se chargera de réunir une dernière fois la Sultane de Paris et les derniers Ottomans. Dans cette fresque historique où s’entrecroisent personnages réels et imaginaires, la volupté et la douceur de l’Orient se trouvent confrontées au monde âpre et souvent cruel de la société occidentale contemporaine. Dans la lignée des Belles de Tunis et de L’Orientale, la romancière s’appuie avec maîtrise et sensibilité sur l’histoire et ses convulsions pour construire les destins exceptionnels de ses héros.

Le résumé et le titre m’ont attirés, j’aime les romans historiques et parfois certains documentaires quand cela sont attrayants.

Mais ce récit est ennuyeux, il y a trop de personnages, ce n’est pas assez détaillé, j’ai vite été perdu. C’est plus un documentaire qu’un roman et c’est rébarbatif. Je n’ai pas dépassé les 100 pages.

 



et cetera