Petitepom lit…











Brittany, belle, riche et intelligente, est sans aucun problème en apparence. En réalité, elle s’oppose à ses parents qui veulent placer sa soeur, handicapée, dans une institution. Alex, d’origine mexicaine, est le mauvais garçon du lycée. Ils sont contraints de travailler ensemble pour leur cours de chimie, et alors que tout les oppose, ils sont attirés l’un vers l’autre.

Je ne suis pas trop attirée par les romances qui m’ennuient assez vite, mais ce livre a tout de même retenu mon attention, j’ai donc décidé de le lire dans le cadre d’une LC sur le Forum Livr@ddict.

 En plus de l’histoire de Brittany et Alex, j’y est aimé, la différence de classe : l’un vit dans les quartiers nord, riche, ou les familles doivent afficher un perfection au quotidien ; l’autre vit dans les quartiers Sud, pauvre où c’est la protection des familles qui est en jeu et le choix du bon gang. L’un et l’autre ont une vie stressante pour deux raisons différentes mais tout aussi intéressante à lire. Malgré leurs différences, ils ont beaucoup en commun.

 Le lycée où doit régné un accord entre les deux clans, a bien du mal à le gérer, toutefois un professeur et son proviseur font preuve de tolérance pour gommer ces différentes.

 Ce livre m’a énormément plu pour tout cela, même si cela reste un roman, l’idée des mélanges de race au delà des apparences et des préjugés me plait toujours.



Trois histoires de familles, trois histoires d’orphelins.

Les filles de Padraic ont perdu leur mère beaucoup trop tôt. Mais, contrairement à leur père, elles ont échappé à l’orphelinat…

Ondine, elle, a espéré toute son enfance être débarrassée de son encombrante famille. Mais les choses ne se sont pas déroulées comme elle l’imaginait…

Et il y a Adèle, cette pauvre Adèle, qui aura une façon bien particulière de se soigner de sa triste enfance…

Les filles de Padraic :Cette nouvelle m’a plu, le père est un être complexe aimé et protégé par ses filles qui redoutent de lui dévoilé un drame ; mais il ressent un malaise qui va finir par lui être révéler.

 Les Torchons :Ce récit est intéressant car on comprend très bien, et assez vite, ce qui s’est passé mais on va vers la fin afin de connaître les détails du drame.

Dommage qu’il y est des changements de narrateur assez soudain qui perde le lecteur.

 Waterloo :Cette dernière nouvelle comme le suivante parle de vengeance, j’ai bien aimé la sympathie que ressent le narrateur pour ses meurtriers, soit, ils tuent mais la vie leur donne raison

 Ce petit livre est vite lu et sera vite oublié, il m’a fait passer une bonne soirée. C’est court  et peu développé, dommage l’idée des deux dernières nouvelles serait un bon sujet de roman policier.

Merci  paikanne. pour ce prêt.



Pour cinq dollars, le blog de Kayla répondra à toutes vos questions sur l’amour. Mais , pour tout l’or du monde, ce blog ne vous dévoilera jamais que la reine du conseil est aussi une fille blessée qui a juré de ne plus jamais laisser un garçon l’approcher avant l’université. Jamais… mais un jeune J comme Jared, ce garçon bourré de charme et de talent que Kayla s’interdit de regarder. Seulement quand Amoureuse rime avec blogeuse, les secrets ne restent pas longtemps !

 Le titre de ce roman m’a attiré, j’ai donc décidé de participer à une lecture commune pour le découvrir. Le fait que ce soit un harlequin m’a un peu inquiété, et j’ai été heureusement surprise par cette lecture qui est fraîche, légère mais pas du tout sans intérêt.

 Kayla est une lycéenne qui a un don pour démêler les histoires d’amour et donner de bons conseils, c’est ce qu’elle fait sur son blog en tant que « Oracle de l’amour ». Et ma foi, ces conseils sont loin d’être stupides, j’y ai lu des choses très sensées. Pris au jeu de son blog, j’ai lu ce livre presque d’une traite (j’ai du dormi un peu entre temps).

Ce livre est prenant, Kayla est attachante ainsi que les autres personnages qui l’entourent ; son histoire personnel est agréable à lire.

 Ce livre  parle aussi d’un outil qu’utilise la nouvelle génération d’ado : Internet, certains vous diront que c’est nul car les gens s’enferment chez eux, alors que cela permet à beaucoup de communiquer leurs passions ou leurs idées, c’est loin d’être négatif quand c’est intelligemment utilisé

D’autres avis sont visibles chez : Mia, Kassandra, Everbook,  Yakurie



Lorsque, après trente ans de mariage, Boris prononce le tant redouté mot pause, Mia, poétesse en mal de reconnaissance, bascule dans la folie, le temps d’une fulgurante “bouffée délirante” qui lui vaut un torpide séjour en hôpital psychiatrique.
Car cette pause recouvre une réalité douloureuse : elle s’incarne en la personne d’une jeune et fraîche neuroscientifique à la poitrine éloquente, collègue de Boris devenue sa maîtresse. Privée de la maîtrise des événements puisqu’elle subit l’infidélité de son mari et sa volonté de “faire une pause”, le coeur à vif, d’autant plus accablée que l’harmonie et l’amour avaient toujours régné dans leur couple, et incapable de rester un instant de plus dans un appartement imprégné de leur vie à deux, Mia quitte New York pour aller passer l’été dans son village natal du Minnesota profond, à deux pas de la maison de retraite où vit sa mère depuis la mort du père. Mia rejoint donc Bonden comme on part en convalescence.
Cette coupure est l’occasion pour elle, au-delà du simple fait de s’éloigner de l’épicentre du tremblement de terre qui a ravagé sa vie, de se retrouver avec elle-même, de prendre le temps de la réflexion et, chose inattendue, d’aller de découverte en découverte. Ainsi fait-elle la connaissance de sa voisine, Lola, jeune mère de deux enfants fréquemment délaissée par un mari colérique et pour le moins instable, et lie avec elle une amitié sincère, née d’une solidarité féminine tacite et qui représente pour toutes deux autant d’occasions de dépasser leur peine, de rire et de se libérer. Un deuxième cercle féminin se dessine autour de Mia et des sept adolescentes inscrites à l’atelier de poésie qu’elle a accepté d’animer pendant l’été.
Au fil des séances, ces jeunes filles, peu coutumières de l’exercice poétique et davantage préoccupées par les garçons, à l’heure des premiers émois amoureux, se mettent à jouer le jeu des mots et se livrent peu à peu, laissant entrevoir les classiques questionnements, conflits et rivalités de l’adolescence. Emue par ce qui ressemble fort à une persécution de l’une des filles du groupe par les six autres, Mia va tenter une forme de médiation par l’écrit, autour d’un jeu de rôles et d’écriture qui mènera chacune à repenser son attitude, sa place, et à s’interroger sur l’identité et l’altérité.
A l’autre bout du fil de l’existence, Mia gravite dans la sphère du pétillant quintette d’octogénaires qui a pris ses quartiers à la maison de retraite de Bonden et dont fait bien entendu partie sa mère. Bien que menacées, comme toute personne âgée qui se respecte, par les chutes et l’Alzheimer, ces joyeuses veuves ont en commun une force de caractère qui les démarque des autres. Elles ont un regard différent sur la vie, elles sont libres, rayonnantes, savourent chaque instant et ont appris à vivre heureuses sans leur mari.
Mia se régale de leurs histoires, resserre les liens avec sa mère et devient la confidente de la plus espiègle des cinq, Abigail, qui ira jusqu’à lui confier ses plus grands secrets. A un tournant de son existence, à la croisée des chemins, en observatrice attentive de tous les âges de la vie, Mia, nourrie de poésie et de philosophie, interroge son parcours de femme, pose un regard tantôt amusé tantôt amer sur son passé et se livre à une véritable introspection. Grâce à cette parenthèse féminine et féministe, Mia s’ouvre à une nouvelle vision des choses et se découvre. Un moment d’intimité avec ces femmes, articulé autour d’une réflexion dont l’érudition nourrit le plaisir que prendront toutes les générations à la lecture de ce roman solaire.

J’ai déjà découvert l’auteur avec «  tout ce que j’aimais », il fut un coup de cœur pour beaucoup ;  pas pour moi, j’ai aimé sans plus ; j’ai quand eu envie de relire cet auteur,le titre de ce livre m’a plu, ainsi que la couverture.

 J’ai pour ce roman le même ressenti : j’ai bien aimé mais je déplore sa construction chaotique; Mia le personnage principal nous dévoile son histoire et trois autres histoires gravitent autour d’elle, mais cela n’est pas raconté de façon linéaire et c’est ce qui me chagrine.

 Comme un puzzle, on découvre un bout d’une histoire puis, un autre vient se greffer, quand ce n’est pas une anecdote d’ordre philosophique ; bref, il faut être patient pour suivre et assembler tout cela. Certains passages, trop courts, sont intéressants et d’autres inutiles et barbants.



Alors qu’elle débute une relation passionnelle avec Pierre rencontré dans un aéroport, Lysange est invité par un inconnu à s’installer dans sa cabane au bord de l’Océan. Là, elle trouve un manuscrit datant des années 1950, écrit par soeur Madeleine quand elle était en mission au Brésil où elle décrit sa position difficile entre foi et amour.

 Ce n’est pas une mais deux histoires d’amour que nous raconte ce livre.

 Le personnage principal, s’appelle Lysange, elle commence une nouvelle histoire d’amour et en parallèle reçoit une lettre étrange : un nommé Thomas désire lui donner sa maison près Arcachon. Lysange va être ballotté entre Paris, où elle vit son histoire tourmenté avec Pierre et Cap Ferret, où une découverte surprenante va lui être révélé à la lecture d’un journal intime.

 J’aime l’écriture de cet auteur que j’ai découvert avec « la grand-mère de Jade », sa narration est poétique et quand, en plus, il y a comme toile de fond l’amour, c’est régal pour le lecteur.



Le destin d’une famille de riches bourgeois, les Dutilleul, de 1914 à 1950. Enfant en 1914, Charlotte grandit dans le souvenir d’un drame survenu lors d’une réception donnée par ses parents et qui va ternir à jamais le nom des Dutilleul. Adulte, elle est donnée en mariage à un fils de commerçants enrichis, Alain Bouillard, au nom de l’intérêt de la famille.

J’ai découvert Caroline Sers avec «  La maison Tudaure » et j’ai adoré ; de plus ma rencontre avec l’auteur à une foire aux livres fut un moment très émouvant. Trouvant son livre génial et lui faisant part de mon contentement, je me suis trouvée en face de quelqu’un de modeste et timide, du coup très attachante comme ses histoires.

 Ce roman se déroule à trois époques, la première débute par un drame et il va falloir plusieurs année pour en connaître les raisons d’où 3 parties en 3 périodes.

 Marie de  Delbe, ou Mme Dutilleul tient sa maison et son personnel d’un main de maître, les apparences sont primordiales et pour cela on accepte le mensonge, sa fille Charlotte sera la première touchée. Cela va nous menait vers une fin dramatique, où on voit de génération en génération une famille prête au pire pour cet apparence si précieuses à leur yeux.

 Ce livre est un thème qui est cher à l’auteur, car son premier roman, « la maison Tudaure » est de même lignée et j’aime beaucoup ce genre d’histoire, cela rappelle les bêtises que les gens ont fait au nom de leur nom ou  rang .



et cetera