Petitepom lit…











En 1913, à Brisbane, une petite fille de 4 ans, Nell, est retrouvée abandonnée sur un bateau arrivant d’Angleterre, avec une valise contenant des vêtements et un livre de contes de fées. Recueillie par un couple, elle n’apprendra la vérité sur ses origines que le jour de son vingt et unième anniversaire. Des années plus tard, elle part à la recherche de son passé et se rend en Cornouailles.

Je n’ai vu que des avis positifs sur ce livre, le titre est aussi très accrocheur et j’avoue que c’est un coup de coeur.

L’intirgue est mené en 3 périodes :

-le présent, avec Cassandra, la petite fille

– 1975, où Nell va découvrir son passé

-1913, où tout nous est révélé

En effet, dès qu’un mystère est sur le point d’être découverte, on replonge dans le passé et  on dénoue peu à peu les ombres du passé de Nell.

Nell est un enfant trouvée sur le quai d’un bateau en Australie. Elle ne sait pas qui elle est ; à partie d’une valise, qu’elle avait avec elle, elle commence à chercher son passé; à sa mort sa petite fille verra la même démarche. On lit de chapitre en chapitre, le parcours de l’une et de l’autre entrecoupé des moments avant 1913 où on découvre toute l’histoire ; cela peut paraitre brouillon, mais il n’en est rien, l’histoire est très bien mené, on a parfois des doutes mais rien qui n’altère l’envie de continuer.

C’est un roman que j’ai lu avec beaucoup de plaisir, le nombre de pages, près de 700, ne m’a pas géné.

Cette lecture est une lecture commune, d’autres avis  : myrtille , reveline



Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, vient de se marier. Le 9 juillet 2012 au matin, il court le long de l’Hudson River quand il est soudainement agressé. Une douleur fulgurante lui transperce le dos, il s’effondre dans une mare de sang. Andrew reprend connaissance le 9 mai 2012… Deux mois plus tôt, deux mois avant son mariage. À compter de cette minute, il a soixante jours pour découvrir son assassin, soixante jours pour déjouer le destin. De New York à Buenos Aires, il est précipité dans un engrenage vertigineux. Une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu’au dénouement… à couper le souffle.

Je dis souvent que je préfère Musso à Levy, avec ce livre , il me fait mentir; j’ai adoré ce roman; le coté fantastique y est pour beaucoup.
Adrew est journaliste, ses enquêtes l’amènent à decouvrir des choses qui peuvent faire souffrir d’autres personnes; sa vie sentimentale est aussi assez complexe. Tout cela va nous mener à un meutre, le sien, mais une seconde chance lui est accordé : et si c’était à refaire…


Je me suis pris au jeu, cherchant qui voulait assassiner Andrew ( eh oui, j’écris au futur, puisque je voyage dans le temps) .


Un bon Levy, je vais de nouveau suivre ses sorties littéraires.



Londres, dans les brumes d’un après-midi d’octobre 1886. Edgar Drake reçoit une étrange requête du ministère de la Guerre. Il doit quitter sa femme et sa paisible vie londonienne pour partir dans la jungle de Birmanie, afin d’accorder un piano Erard très rare. L’instrument appartient au médecin-général Anthony Carroll, un énigmatique officier anglais dont les succès à ramener la paix dans les états Shan sont devenus légendaires, mais dont les méthodes peu orthodoxes ont soulevé la méfiance de ses supérieurs.
Ainsi commence le voyage d’Edgar à travers l’Europe, la mer Rouge, l’Inde , pour atteindre enfin la Birmanie, et les terres les plus reculées des Etats Shan. Sur le chemin, des soldats, des mystiques, des bandits et des conteurs croisent sa route…

Je ne suis pas allée jusqu’en Birmanie, car à la centième pages j’abandonne.

Je me faisais un plaisir d’e me promener en Birmanie au coté d’un accordeur de piano, pensant à une histoire musicale ou poétique, mais pas du tout.

Lors de son voyage, il rencontre des conteurs, dont les contes sont ennuyeux et n’apportent rien à l’histoire. Notre personnage nous fait parcourir des notes sur la Birmanie qui sont d’ordre militaire et politique, là encore, c’est barbant



Partant d’un événement troublant de sa vie (l’impression d’avoir percuté un enfant invisible), l’auteure s’interroge sur elle-même, sur son enfance, sur sa vie, et cherche à retrouver l’inspiration qui lui fait cruellement défaut. Elle pensait avoir une vie lisse, sans histoire et sans grand intérêt. Au fil des disgressions, elle en arrive à raconter un secret de famille refoulé jusqu’à présent.

Je ne suis pas trop attirée par les drames et encore moins par les biographies, pourtant quelqu’un sur le net a su me motiver à lire ce livre, car je l’avais réservé à la biblio.

J’ai aimé l’écriture simple et agréable, mais moyennement l’histoire, on est poussé à tourner les pages pour connaître le secret de sa mère mais une fois qu’on le sait, l’intérêt pour la vie et les ressentis de l’auteur m’ont ennuyé.

Quand j’ai lu le résumé du livre, j’ai été attiré par le coté étrange de son « accident », mais j’en attendais autre chose, malgré le coté agréable le la narration, je préfère les histoires romancées et je pense que mon avis mitigé vient de là.



{19 août 2012}   La dentellière-Laine Pascal

 » Certes c’était une fille des plus communes. Pour Aimery, pour l’auteur de ces pages, pour la plupart des hommes, ce sont des êtres de rencontre, auxquels on s’attache un instant, seulement un instant, parce que la beauté, la paix qu’on y trouve ne sont pas de celles qu’on avait imaginées pour soi ; parc qu’elles ne sont pas où l’on s’attendait à les trouver. Et ce sont de pauvres filles. Elles savent elles-mêmes qu’elles sont de pauvres filles. Mais pauvres seulement de ce qu’on n’a pas voulu découvrir en elles. Quel homme n’a pas dans sa vie commis deux ou trois de ces crimes ? « .

Ce roman se lit vite, Pomme le personnage principal, est une fille de la campagne , née dans un village. Son père est parti, sa mère travaille comme serveuse et « rend service » à des Messieurs fortunés. On en sait peu sur sa mère, et c’est dommage, le personnage avait tout pour me plaire.

On retrouve nos personnages  en ville, dans un 3 pièces moderne, là encorce, on ne sait rien de ce changement, j’aurai aimé en savoir plus. Pomme travaille dans un salon de coiffure, elle se fait une amie qui la sort, puis s’en délaisse. Pomme fera la rencontre d’un étudiant, issu de famille noble.

Nous sommes dans les années 60, mais les différences sociales sont très présentes et importantes pour accepter qu’un couple s’unissent ; en effet, Pomme est d’un milieu modeste, il est impassable qu’elle soit acceptée chez son ami étudiant.

Pomme retournra chez sa mère où elle se laissera dépérir…

Pomme est une femme effacée, qui accepte sa condition sans se rebeller. Mais au fond, n’a t’elle pas raison? C’est ce que suggère la dernière phrase du livre, phrase qui laisse le lecteur songeur , une fois le livre refermé.



Claire, ravissante artiste et Henry, bibliothécaire, se rencontrent quand Claire a 6 ans et lui, 36 ans. Ils se marient quand Claire a 23 ans et Henry, 31. En effet, Henry souffre d’un mal mystérieux qui le déplace dans le temps, le contraint à visiter des moments cruciaux de sa vie passée ou future. Ses disparitions sont imprévisibles et le mettent dans des situations surprenantes.

Hors du temps

(The Time Traveler’s Wife) est l’adaptation cinématographique du roman Le temps n’est rien d’Audrey Niffenegger.

J’ai déja lu ce livre et vu le film, mais il fait parti de ces livres complexe que j’aime relire.

Claire et Henri ont une vie commune peu ordinaire, Henri a une drole de « maladie » dont les symptomes lui font faire des bonds dans le temps. Du coup, dès les premières pages, c’est confus, car pour Henri, c’est une rencontre nouvelle, mais pour Claire, c’est la suite d’une enfance passée au coté de son futur mari le temps des voyages temporels.

Il y a des situations droles, on a parfois envie que ces voyages dans le temps permettent de changer les mauvais moments, tout cela poussent le lecteur à tourner les pages



et cetera