Petitepom lit…











Paris, décembre 1642, le commissaire de police du quartier de Saint-Avoye a été assassiné dans une pièce entièrement close. Louis Fronsac, jeune notaire audacieux, mène l’enquête avec son ami de toujours, Gaston de Tilly, que l’on vient de nommer commissaire à Saint-Germain-l’Auxerrois.
Au même moment, autour de la duchesse de Rambouillet, de Marie de Robutin-Chantal et du prince de Marcillac, s’agitent les Importants. Cherchent-ils simplement à influencer la régente Anne d’Autriche et sont-ils responsables de la mort du roi ?
Alors que Louis Fronsac recherche autant la vérité que l’aide du jeune duc d’Enghien qui tente d’arrêter les troupes espagnoles, le duc de Beaufort et sa maîtresse, Mme de Montbazon, trament leur criminelle conspiration.
Et si la cabale des Importants n’était qu’une intrigue de façade pour tenter d’assassiner le Sicilien Mazarini ?

Récits d’aventures et énigmes criminelles au cœur du Paris du XVIIe siècle. Un jeune notaire audacieux se retrouve emporté dans le vent de l’histoire.

j’ai bien aimé ce deuxième volet des aventures de Louis Fronzac, il m’est plus facile de suivre maintenant que j’ai tout les personnages en mémoire. L’affaire est encore une fois passionnante, pour ceux, comme moi qui aime l’histoire et particulièrement cette période sous Louis XIII et Louis XIV.



En juin 1642, une copie du traité d’alliance passé entre le marquis de Cinq-Mars et l’Espagne arrive mystérieusement sur le bureau du cardinal de Richelieu. Dans le Paris de Louis XIII certains s’interrogent sur le rôle qu’aurait pu jouer la marquise de Rambouillet, surnommée Arthénice, durant les trois conspirations de 1641 : celle du duc de Vendôme, celle du duc de Soissons et celle du marquis de Cinq-Mars.
Le perspicace notaire Louis Fronsac, ami du poète Vincent Voiture et du commissaire-enquêteur Gaston de Tilly, recherche la vérité sur la mystérieuse chambre bleue d’Arthénice. Enquête pour laquelle il risque sa vie, mais heureusement il est protégé par Giulio Mozarini…

On retrouve ici Louis Fronsac, le jeune et audacieux notaire, déjà remarqué dans ses précédentes aventures La Conjuration des Importants et Le Dernier Secret de Richelieu.

je me décide enfin à lire cette série, au départ, il n’est pas facile de s’y retrouver, car il y a beaucoup de personnages, quant aux complots dans lesquelles notre héros Louis de Fronsac se retrouve mêlé, ne sont pas très clair, l’auteur est soit, très précis mais cela a parfois embrouillé ma lecture, mais une fois cela éclairci, je me suis régaler et vais de ce pas, lire la suite, tant que j’ai en mémoire tout les personnages et leur importance.

Page d’histoire : La marquise de Rambouillet, née Catherine de Vivonne à Rome en 1588 et décédée à Paris le 2 décembre1665, est une femme d’exception qui tint au XVIIe siècle le premier salon célèbre dans son hôtel de Rambouillet situé à Paris, rue Saint-Thomas-du-Louvre1. Un salon influence

À cause de sa santé précaire et des mœurs de la Cour, elle décide d’attirer chez elle le grand monde. Elle s’intéresse aux arts, aux lettres ; elle aime aussi l’histoire et parle couramment l’italien et l’espagnol.

Elle tient un salon très brillant, avec l’aide de sa fille Julie (1607-1671), en l’honneur de qui fut composée La Guirlande de Julie, jusqu’au mariage de celle-ci (1645) avec Charles de Sainte-Maure, marquis de Montausier (qui ne deviendra duc qu’en 1664), et la mort de Vincent Voiture en 1648.

Son salon a exercé une grande influence sur la langue française et sur la littérature du temps, les Précieuses ayant joué un rôle important dans le renouvellement du vocabulaire français. Molière a raillé les excès de ce milieu dans Les Précieuses ridicules. U

Ce salon est l’un des rares à donner l’honneur aux femmes, contrairement aux autres salons massivement fréquentés par des hommes. Pour ce faire, Catherine de Vivonne avait enrégimenté un escadron de jeunes filles de la meilleure naissance qui agrémentaient les rencontres par leur esprit et leur charme.

Surnommée Arthénice, anagramme composée par Malherbe, elle apparaît sous les traits de Cléomire dans Artamène ou le Grand Cyrus, de Madeleine et Georges de Scudéry, Cyrus étant lui-même Louis II de Bourbon-Condé, duc d’Enghien, le Grand Condé.



Vienne, 1903. Interrompu au milieu d’une valse, l’inspecteur Oskar Rheinhardt doit se rendre d’urgence à l’école militaire de Saint-Florian pour constater la mort, apparemment naturelle, d’un jeune cadet.

D’étranges marques sur le corps du garçon poussent néanmoins l’inspecteur à poursuivre l’enquête et à faire appel à son ami, le psychiatre Max Liebermann, pour le seconder.

Interprétations des rêves et tests de Rorschach, tous les nouveaux outils psychanalytiques leur seront utiles pour sonder les sombres secrets de cette école…

Mais en ces temps troubles où l’empire des Habsbourg est menacé par les nationalistes hongrois, Oskar doit se battre pour que l’enquête ne passe pas après les affaires d’État, et la vie amoureuse de Max va frôler dangereusement le monde de l’espionnage…

J’ai retrouvé dans ce livre l’inspecteur Rheinhardt, ses méthodes sont plus perspicace que dans le premier que j’ai lu récemment, Liebermann, apporte là aussi, ses lumières psychologiques pour aiguiller la police. t
Toutefois, j’ai trouvé des passages longs et inutiles, cela manque d’entrain pour me donner envie d’en lire d’autres.



En ce début de XXe siècle à Vienne, où l’on peut croiser Freud, SchSnberg, Klimt et bien d’autres encore, les cafés sont le lieu de débats fiévreux. C’est dans cette atmosphère d’effervescence artistique et scientifique que Max Liebermann, jeune psychiatre et pianiste à ses heures, mène ses enquêtes avec son ami Oskar Rheinhardt, inspecteur et… chanteur lyrique amateur.

Et ils vont avoir fort à faire avec le cas de cette jeune et jolie médium retrouvée morte chez elle dans une pièce fermée de l’intérieur.

Une note griffonnée de ses mains laisse penser à un suicide. Pourtant, les indices déroutants s’accumulent : l’arme du crime, un pistolet, a disparu, et aucune trace de la balle n’est retrouvée durant l’autopsie…

Serait-ce l’intervention d’un esprit maléfique ?

j’ai bien aimé ce livre, c’est à travers une affaire policière que l’on fait connaissance avec 2 personnages attachants : Reinhardt, un policier à l’allure très élégante, au moustache « lustré », mais peu efficace pour résoudre cette enquête car un peu crédule ; et Liebermann, un psychiatre, très observateur, adepte des idées de Freud, qui aide et fait avancer l’affaire. le spiritisme et la psychologie sont très présentes.
J’ai été aussi très sensible à la façon dont les femmes étaient traitées, qualifiée d’hystérique par les médecins, dès qu’elles n ‘étaient plus qu’une mère et une femme obéissante, subissant des traitements barbares.

Page d’histoire
Vienne a longtemps été considérée comme la capitale mondiale de la musique. L’orchestre philharmonique de Vienne, qui recrute ses membres parmi ceux de l’orchestre de l’opéra national, est également une référence mondiale. De nombreux concerts de musique classique sont organisés au Musikverein (avec la célèbre salle dorée) et à la Konzerthaus. Le spiritisme est considéré, selon les sources, comme une superstition1, comme une science occulte2 ou comme une doctrine3. Il est fondé sur la croyance que certains phénomènes paranormaux sont le moyen pour des entités de l’au-delà appelées « esprits », le plus souvent des personnes décédées, de communiquer avec les vivants.
La doctrine spirite connait dans la seconde moitié du XIXe siècle une expansion et une popularité importante, notamment dans les milieux intellectuels, littéraires ou savants. Sigismund Schlomo Freud le 6mai1856 à Freiberg (Autriche) (actuelle République tchèque) et mort le 23septembre1939 à Londres, est un neurologueautrichien, fondateur de la psychanalyse. Médecin viennois, Freud rencontre plusieurs personnalités importantes pour le développement de la psychanalyse. Elles le conduiront à élaborer plusieurs théorisations des instances psychiques, en premier lieu avec les concepts d’inconscient, de rêve et de névrose, puis il proposera une technique de thérapie, la cure psychanalytique, qu’il définit pour la première fois en 1904. C’est dans le cadre de la cure, dès les Études sur l’hystérie, et particulièrement dans sa première analyse du « cas Dora », que Freud découvre peu à peu l’importance du transfert.



Printemps 1892. John Adinett, un membre respecté de la haute société londonienne, est jugé pour le meurtre d’un de ses meilleurs amis.
Le commissaire Thomas Pitt, chargé de l’enquête, est appelé à témoigner. Mais à l’issue de ce bien étrange procès, le voilà traîné dans la boue, démis de ses fonctions et exilé dans un des quartiers les plus sordides de Londres. Seule sa femme, l’intrépide Charlotte, sera capable de reprendre l’enquête de son cher mari afin de sauver sa carrière et sa vie des griffes du mystérieux et puissant Cercle Intérieur…
Des somptueux salons de l’aristocratie aux taudis de l’East End, Anne Perry n’a pas son pareil pour faire le portrait d’une société victorienne gangrenée par l’injustice sociale et au bord du chaos.


Une nouvelle aventure de Charlotte et Thomas Pitt, mais ce n’est pas dans l’aristocratie que Pitt va enquêter. le meurtre est déjà commis et le coupable arrêté quand on débute l’histoire, ce n’est pas Qui a tué mais Pourquoi, qu’il faut chercher, mais Pitt se retrouve dans les quartiers pauvres à devoir se faire oublier car celui qu’il a arrêté est influent et cela dérange en haut lieu, du coup, c ‘est Charlotte, Dalcie sa domestique et Tellman, collègue de Pitt qui font mener les recherches ; cela va emmener à des révélations époustouflantes, de son coté Pitt va devoir aller à l’encontre des ses pratiques pour garantir la paix.
Un roman riche en révélation, passionnant à lire.



La découverte de corps décapités dans Hyde Park fait resurgir une peur que les londoniens n’avaient plus ressentie depuis Jack l’Éventreur. Et si Thomas Pitt, récemment promu commissaire, ne trouve pas très vite le coupable, on ne donne pas cher de sa tête ! Un premier cadavre est retrouvé sur un bateau, puis un second dans un kiosque à musique. Les indices sont bien maigres. Y a-t-il un point commun entre les victimes, un officier de marine respecté, et un musicien ?
La population, la presse, les politiciens,… tout Londres réclame vengeance. Jamais Pitt n’a été autant aux abois et si curieusement réticent à effectuer une arrestation. Et au moment où il en aurait le plus besoin, Charlotte, son épouse, semble incapable de l’’aider…

Alors que l’inspecteur Pitt est à présent commissaire, il se retrouve à enquêter sur une affaires des plus complexe, car rien ne relie les victimes, et sa place au sein de la police est menacé, heureusement Charlotte et sa soeur Emily, sont là pour aider nos commissaire préféré. Je prends toujours beaucoup de plaisir à suivre leurs aventures dans cette société bourgeoise de cette fin de XIX° siecle.



et cetera