À quelques kilomètres d’Oslo, l’hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l’inspectrice Sarah Geringën pressent d’emblée que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu’il porte sur le front, s’est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
J’ai bien aime ce polar, ca court a 100 a l’heure, il se passe toujours quelque chose de captivant, c’est bourré d’action, pas le temps de s’ennuyer.
Sarah va découvrir en Norvège dans un hôpital psychiatrique, un homme qui est mort de peur, dès le départ, une explosion nous plonge dans l’action, elle ira en France où elle rencontrera Christopher, ils poursuivrons l’enquête ensemble, sur un ile et en Amérique, ce qu’ils vont découvrir est surprenant.