Jeune orpheline que la vie n’a pas épargnée, Victoria Jones se méfie des autres. Elle qui n’aime pas les mots va trouver dans le langage des fleurs le moyen d’exprimer ses émotions extrêmes et de se réconcilier avec la vie.
Victoria est une enfant difficile, abandonnée à la naissance ; elle passe son enfance entre des foyers et des familles d’acceuil ; elle se raccroche à sa passion pour les fleurs.
Son dernier placement, à 10 ans est chez Elisabeth, propriétaire d’une vigne ; Elle se reconnait dans Victoria, et finit par l’assagir.
Le livre commence, le jour des 18 ans de Victoria, elle peut sortir du foyer où elle vit depuis 8 ans, elle doit trouver un travail et un logement ; les fleurs vont le lui permettrent, mais elle va aussi retrouver Grant, le neveu d’Elisabeth.
De chapitre en chapitre, on va vivre le présent et le passé chez Elisabeth ; le présent sous entend qu’il s’est passé quelque chose dans le passé, ce que le lecteur veut découvrir.
Ce livre se résume en un mot : « le pardon » ; Elisabeth et Victoria m’ont déçu par leurs choix, mais la beauté de leurs âmes efface tout, et donne à ce livre beaucoup de fraicheur au parfum des fleurs.
Oui, j’ai eu du mal à comprendre moi aussi les choix de Victoria, celui d’Elizabeth… J’ai eu beaucoup de mal à m’attacher à elles, même si évidemment, j’ai compris pourquoi elles avaient agi de la sorte. Une belle histoire que je suis contente d’avoir pu partager avec vous toutes !
@ Ingrid Fasquelle : j’ai trouvé les personnages parfois horripilants, mais en fin de compte on s’attache à eux.
J’ai moi aussi beaucoup aimé cette lecture ! 🙂
@ Lizouzou : 😉
C’est vrai le pardon est un bon mot pour décrire ce livre. Elisabeth m’a également déçue par certains choix, j’ai plus compris l’attitude de Victoria qui est cohérente avec ce qu’elle a vécu, une belle découverte !
@ aurélie91 : très réaliste, au fond.
J’aime bien ton billet, tu résumés tout à fait le livre en un mot : le pardon, c’est ça. Par contre moi je suis vraiment attachée dès le départ à Victoria.
@cledesol : moi, c’est petit à petit que je l’ai apprécié.